* SummerNights *
Puzzle en (Dé) Construction...
A la (dé)Rive...
30 de soufflées, 10 de perdues.
Des éternels re-commencements,
retrouver l'inspiration en perdant la respiration,
près de l'oxygène et des liquides inflammables.
A différents degrés d'Alcools.
Marcher encore et toujours dans mes propres pas.
Dans des lieux et des jeux si familiers.
Arpenter des rues rendues vivantes il y a 10 ans.
Les décennies se mêlent, le passé, le présent,
inattendus et parfois violents, en plein visage.
Les mêmes excès, les stigmates et les absences béantes.
Parfois l'âme en table.
De jour, à l'extérieur, l'été en terrasse.
Plus celle du Mc Do, pas si loin de là, sous le BeffroY.
Au pied de l'Opéra de Paname.
Sleepless (K)Nights like Puzzles.
Enivrées et enivrantes.
Difficile d'assembler les souvenirs.
Missing pieces...Trop de tue le.
Et c'est fondamentalement soûlant.
Même loin de 'la ville rose" de M'sieur ZOrrO.
De perdre.
Passiance, pied, la mémoire ou la tête.
Dans la Chaleur des SummerNights.
Certaines de ces nuits me pèsent.
Le souffle court revient depuis la dernière.
Souvenirs d'un passé composé d'intérieurs.
A l'extrême, même à l'extérieur.
Lamentables psychodrames.
Ça crise, d'angoisse,
de manque, de larmes alcoolisées.
Certaines pièces resteront manquantes.
Indéchiffrable, le Puzzle.
Again.
Sans support photographique,
me reviennent quelques pathétiques flashs,
en parallèle des poétiques lignes oubliées.
On ne parle pas tous la même langue.
La mienne, évidemment fleurie.
A laver au savon noir, ou au Malabar.
De ces heures là, me manquent les mots en volées.
Ca n'a même plus rien de beau,
et fatalement...ne restent que les bleus et les maux.
A digérer, dans la semi-Obscurité, et la semi-compréhension.
Voiceless.
Dans le flou artistique d'une myopie pourtant corrigée,
Les 'hématomes crochus' apparaissent encore.
Éclairage des zones d'ombres au Clair Obscur.
Pas si communs les poings.
Trop fréquentes les larmes,
Si nombreux, les degrés de perceptions.
A l'infini, l'Histoire se répète.
Usée & usante.
Saoulée & soûlante.
Affligée & Affligeante...
'As the bruises turn to yellow...'
-Warning - Le système d'exploitation n'est pas stable...
Waste
&
Shame.
4 Juillet 2009 ..... Main Square Festival, Arras.
De mes "yeux" vus...
'Since we're feeling so anaesthetized
In our comfort zone
Reminds me of the second time
That I followed you home
We're running out of alibis
On the second of May
Reminds me of the summer time
On this winter's day
See you at the bitter end
Every step we take that's synchronised
Every broken bone
Reminds me of the second time
That I followed you home
You shower me with lullabies
As you're walking away
Reminds me that
It's killing time
On this fateful day
See you at the bitter end x4
Every time we intercepted
It feels love like suicide
[...]
To miss your eyes, your lips
See you at the bitter end'