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Sail on Silver Girl...
Et si c’était plus simple, plus clair, plus aéré… Plus léger.
Et si ça faisait moins mal aux yeux, aux oreilles, au ventre…
De crier sa propre Vérité. En constante évolution.
Chaque jour avancer, reculer, se tromper, tomber
et se relever, apprendre et recommencer.
Pour soi et pour les autres.
Pour se sentir vivant.
Et si « l’Insoutenable Légèreté de l’Etre » était La solution.
Pour accepter.
Et si on prenait le temps pour parler ce langage commun,
au fil du temps, de l’eau,
brûlante comme le thé, ou figée dans la glace.
Et si tenter de comprendre tout d’abord,
se comprendre pour comprendre l’Autre et essayer de s’accorder.
Calmes et tranquilles. Sereins.
Comme accorder si magnifiquement l’Aphable et le Bleu,
Comme l'accorder avant que le morceau soit beau à entendre, à écouter.
Parce que de vouloir aller trop vite sans en passer par là, c’est se jeter dans l’incommunication.
Ce mur immense. Si haut lui aussi.
C’est se jeter dedans vite, de plein fouet, et se retrouver étourdie, assommée.
Juste prendre le risque et se retrouver assise là, seule,
perdue de ne rien vouloir comprendre,
prête à se jeter au plus vite ailleurs, pour y tenter l’Higher.
Peine perdue.
Etre là, sans Prudence, en pensant juste, si…mais. Mais si.. Et si ?
En oubliant de voir, de comprendre, d’y penser,
et essayer d’y croire encore, vite, fort, malgré tout,
en se rendant compte que finalement, on n’arrive même plus à ressentir.
Plus Rien. Le Néant.
Alors que tout est ici, « Tostaky » , offert sans doute un peu trop vite.
Lui aussi.
Peines retrouvées.
Et si tout ça pouvait s’accorder au fond d’un même cerveau apaisé..
Juste d’avoir accepté que l’Absolu est un risque trop grand,
que l’Absolu fait passer du tout au rien.
Et si entre le noir et le blanc, toutes ces nuances de gris pouvaient être belles, elles aussi.
Belle d’être apaisée, d’avoir compris, digéré, assimilé. Accepté.
Modérée.
Et à l’Ecoute.
Pour ne plus reproduire les erreurs du passé.
Apprendre de sa propre expérience, de ses propres erreurs et de celles des autres,
du trop haut ou du trop bas, du « en entier » ou « rien du tout ».
Juste des excès. Rien de tiède ou au milieu.
Sinon, ça ne s’appelle pas Vivre.
Ca s’appelle Mourir.
Un mort vivant plein de substances toxiques.
A consommer avec modération.
Lassée, usée, d’avoir été trop torturée, à se perdre,
à perdre l’autre dans la fureur de l’Absolu,
et du « plus que tout » passer au « moins que rien »
.. à perpétuité.
Quant à Lui…
Les Etoiles brillent là haut, et nous les observons émerveillés alors qu’elles n’existent déjà plus…
Ca n’était donc pas réel ? Si elles l’ont été, il n’en reste aujourd’hui qu’une trace de lumière.
Ou quelques Cd usés d’avoir été trop écoutés.
La Lune, elle, dans ses nuances de noir profond,
de blanc lumineux et de toutes ses teintes de gris,
si on y regarde de plus prêt, Elle, est là.
"Cons comme la Lune"ou Astre mort, vous n’y comprenez rien.
Elle est là, inaccessible.
Elle est là, et elle est réelle.
Présente, hier,aujourd’hui, et demain, pour ceux qui y ont un jour posé les yeux,
Et bien sûr pour celui dont elle aimerait que leurs regards se croisent.
Enfin.
Et se fixent l’Un sur l’Autre.
Et elle l’attend. Avec Passiance.
Si loin, si proche.
Son passé ne contient presque plus de fantômes.
Juste des Anges qui sont passés,
et qui sont là encore aujourd’hui,
l’aidant à regarder vers l’Avenir.
Qu’elle espère avec Lui.
Et l’espoir, le feu, la flamme, la beauté des rêves, la mélancolie… font vivre.
Et elle est vivante.
Je suis vivante.
Et si ça faisait moins mal aux yeux, aux oreilles, au ventre…
De crier sa propre Vérité. En constante évolution.
Chaque jour avancer, reculer, se tromper, tomber
et se relever, apprendre et recommencer.
Pour soi et pour les autres.
Pour se sentir vivant.
Et si « l’Insoutenable Légèreté de l’Etre » était La solution.
Pour accepter.
Et si on prenait le temps pour parler ce langage commun,
au fil du temps, de l’eau,
brûlante comme le thé, ou figée dans la glace.
Et si tenter de comprendre tout d’abord,
se comprendre pour comprendre l’Autre et essayer de s’accorder.
Calmes et tranquilles. Sereins.
Comme accorder si magnifiquement l’Aphable et le Bleu,
Comme l'accorder avant que le morceau soit beau à entendre, à écouter.
Parce que de vouloir aller trop vite sans en passer par là, c’est se jeter dans l’incommunication.
Ce mur immense. Si haut lui aussi.
C’est se jeter dedans vite, de plein fouet, et se retrouver étourdie, assommée.
Juste prendre le risque et se retrouver assise là, seule,
perdue de ne rien vouloir comprendre,
prête à se jeter au plus vite ailleurs, pour y tenter l’Higher.
Peine perdue.
Etre là, sans Prudence, en pensant juste, si…mais. Mais si.. Et si ?
En oubliant de voir, de comprendre, d’y penser,
et essayer d’y croire encore, vite, fort, malgré tout,
en se rendant compte que finalement, on n’arrive même plus à ressentir.
Plus Rien. Le Néant.
Alors que tout est ici, « Tostaky » , offert sans doute un peu trop vite.
Lui aussi.
Peines retrouvées.
Et si tout ça pouvait s’accorder au fond d’un même cerveau apaisé..
Juste d’avoir accepté que l’Absolu est un risque trop grand,
que l’Absolu fait passer du tout au rien.
Et si entre le noir et le blanc, toutes ces nuances de gris pouvaient être belles, elles aussi.
Belle d’être apaisée, d’avoir compris, digéré, assimilé. Accepté.
Modérée.
Et à l’Ecoute.
Pour ne plus reproduire les erreurs du passé.
Apprendre de sa propre expérience, de ses propres erreurs et de celles des autres,
du trop haut ou du trop bas, du « en entier » ou « rien du tout ».
Juste des excès. Rien de tiède ou au milieu.
Sinon, ça ne s’appelle pas Vivre.
Ca s’appelle Mourir.
Un mort vivant plein de substances toxiques.
A consommer avec modération.
Lassée, usée, d’avoir été trop torturée, à se perdre,
à perdre l’autre dans la fureur de l’Absolu,
et du « plus que tout » passer au « moins que rien »
.. à perpétuité.
Quant à Lui…
Les Etoiles brillent là haut, et nous les observons émerveillés alors qu’elles n’existent déjà plus…
Ca n’était donc pas réel ? Si elles l’ont été, il n’en reste aujourd’hui qu’une trace de lumière.
Ou quelques Cd usés d’avoir été trop écoutés.
La Lune, elle, dans ses nuances de noir profond,
de blanc lumineux et de toutes ses teintes de gris,
si on y regarde de plus prêt, Elle, est là.
"Cons comme la Lune"ou Astre mort, vous n’y comprenez rien.
Elle est là, inaccessible.
Elle est là, et elle est réelle.
Présente, hier,aujourd’hui, et demain, pour ceux qui y ont un jour posé les yeux,
Et bien sûr pour celui dont elle aimerait que leurs regards se croisent.
Enfin.
Et se fixent l’Un sur l’Autre.
Et elle l’attend. Avec Passiance.
Si loin, si proche.
Son passé ne contient presque plus de fantômes.
Juste des Anges qui sont passés,
et qui sont là encore aujourd’hui,
l’aidant à regarder vers l’Avenir.
Qu’elle espère avec Lui.
Et l’espoir, le feu, la flamme, la beauté des rêves, la mélancolie… font vivre.
Et elle est vivante.
Je suis vivante.
Garfunkel - Bridge Over Troubled Water
envoyé par droogirico. - Regardez d'autres vidéos de musique.
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