Du double au simple Je
Septentrion : n.m : Les Sept étoiles de la Grande Ourse ou de la Petite Ourse.
Litt : Le Nord.
Les yeux grands ouverts.
Enfin. Ca y est.
Et toujours en pleine nuit, sans avoir remarqué…
Attendons le soleil, pour l’Eclipse.
Ca y est, je sais, je sens…
Et pourtant…
Deux jours et deux nuits, j’attends.
C’est ce soir.
C’est maintenant.
Fermées les persiennes. A nous deux. Attention…j’arrive.
Toute ton attention s’il te plait.
Ecoute.
Cartes offertes, à cœur ouvert.
C’est maintenant.
Chut.
Cartes sur table, ce soir.
Dans mes mains, l’as de coeur, le huit de coeur, et le six de lune.
Dans les tiennes, l’as de trèfle, le sept de pique, le quatre de cœur.
Cartes mémoires, en roman photo, les 6 mois écoulés.
Et si moi, je ne voulais pas voir …
Six mois, où je ne voulais pas croire.
Maintenant je sais, je sens.
Ecoute.
Chute. Avec moi.
4 * 4, touché.
Tu me ressembles si peu. Et pourtant… si voisins.
Voisin, touchant, proche. So far, so close.
A côté de moi, juste à ta fenêtre, je vois :
Disponibilité, détermination, fragilité, honnêteté, générosité.
Humanité.
Equilibre…
A/4, touchée.
Grâce ces quelques lignes en 67, découverte de l’autre.
Et des Autres.
Les Autres, les Vivants de mon quotidien.
Les Etoiles du Septentrion, à double entrée.
Belles rencontres aux saveurs de bulles et de barbecue.
Un soir d’été, sans Jacques.
Et puis…Juste parler. Partager. Sans manger.
Au fil des heures, des semaines, des mois.
Communiquer, discuter, échanger, construire.
Sur le fil, un si bel équilibriste.
A pied ou en deux roues. Mieux vaut tard…
Et puis..
Une bulle, sans champagne cette fois, juste au fil des rhums antillais.
Parenthèse enchantée aux odeurs de braderie.
On ouvre la porte, on la referme.
Et puis…
Juste parler. Encore, toujours, longtemps, de jour comme de nuit.
Et puis, le flash. Aveuglant. En pleine nuit blanche.
Arrivent les yeux grands ouverts ?….
Maintenant je sais, je sens. Chut.
Ecoute moi c’est ce soir. Chute.
Carte sur table, si sûre…
Tellement sûre de ses lois…
Sauf que c’est une Polo, et non pas une Austin.
Ca rime au creux de l’oreille…Ernestine.
Maintenant, tu sais.
Pars. Pars, et reviens moi. Avec ta réponse.
Tu les as toutes, ou presque, les cartes.
A toi de jouer. Quitte ou double.
Perds ou impaire.
Carte blanche, à ton tour.
Le plan de la Carte au trésor, c’est offert en prime dans une voix de garage.
« Lille aux trésors cachés, dans les bistrots mal éclairés de Wazemmes et d’ailleurs ».
Pensées à ces gars coulés, par des putains de vents contraires, loin des zoos.
Sombres héros, à la mer.
Ca y est. Le jeu change de main.
Tout est ici, tu n’as qu’un pas à faire.
Todo Està Aqui, offert sans doute un peu trop vite.
Moi aussi.
Cartes en mains, à deux mains. A bientôt.
Je n’attends rien. Ou presque.
Se protéger maintenant. Pour l’éventuelle chute. Risque pris.
Anticiper pour ne pas tomber. Toutes les précautions prises, bien trop, encore.
Au cas où.
Toujours si sûre….
L’attente latente….Sereine, calme et tranquille.
Presque.
Le trouble.
Le trouble qui fait reculer beaucoup trop vite.
Et prendre du recul, ça n’est pas reculer pour autant.
Le ventre se tord. La tête de Lune est troublée. Trop.
Re-sentir trop fort. Bien trop fort.
Re-tour aux Tours jumelles. Boite de Pandore ouverte.
Re-garde moi.
Enfin, je comprends…
Le passé au présent.
Trois jours et trois nuits.
Dont une blanche.
On referme tout. Les yeux, les persiennes, la boîte aux secrets.
Au revoir les chiens bleus. Sirotons la tisane au pain d’épices.
Stop, c’est trop haut, trop vite, trop fort.
Stop.
Break. Haute tension, attention.
Juste dans les délais.
M. Bertrand m’impose : Pose-toi, Re-pose toi, Dors.
Une semaine pour signer l’arrêt.
Et puis…
« Appuyez vous sur les principes, ils finiront bien par céder » parait-il.
Même les miens.
Essai, messe… Tonibe va parler.
J’arrive.
C’est maintenant. J’écoute.
Il va parler, carte sur table. A son tour.
1,8,6 et 1,7,4. La donne est inchangée.
La vocabulaire est le même, la langue n’est pas commune. Ad Vitam.
Ce qui se réfléchit, même dans un si beau miroir, ne se ressent pas à tous les coups d’oeil.
Pas toujours aussi fort.
Et sans partager ça, l’aire sera déséquilibrée.
Même avec toi l’Equilibriste.
Partager l’aire vitale est impossible. J’en manquerai et tu étoufferas.
L’asphyxie, bien trop vite te guette. Et le manque immense pour moi.
L’Air Liquide, l’air des cimes savoyardes, l’air de quelques notes…
Ca sera sans toi.
L’air de rien, déséquilibre.
Tu ne voleras jamais avec moi, là haut près de la Lune.
Ca ne s’apprend pas.
Je sais, je sens.
En Picasso ou en allemand, la barrière est là.
On ne se comprendra pas.
Tu ne montras pas aussi haut que mes étoiles, même si je te prends la main.
Même avec le temps. Ce qui me coule dans les veines ne t’atteint pas.
D’autres ont compris. Quant à toi, tu ne l’entends pas.
Ou si peu. Surface calme.
Un si grand parallèle qu’on ne pouvait que se manquer.
Parce que les courbes aux inclinaisons alternées, elles seules, peuvent se croiser.
Une fois, ou plusieurs.
Le chant des cimes, en Ecrin de satin ou de soie, ne s’atteint pas toujours.
Même au Plat Pays, au milieu des terrils et des litres de Ch’ti blonde.
Loin des Alpages de mes Soleils.
Statut corrompu.
Touchée ? Coulée ? Si peu finalement.
Ces mots auraient du déchirer. Et pourtant rien. Ou presque.
Stupéfaction. Le ventre reste calme, là où il aurait du se tordre.
Là où, en toute logique le volcan intérieur aurait du exploser.
Calme presque plat. Alors que l’attention est haute.
Cherchez l’erreur. Les Sept.
Celle de la Grande Ourse, ou de la plus Petite.
Septentrion.
Le jeu des 7 erreurs.
Fin de la partie, on va envisager un autre Cycle.
Comprendre et accepter.
D’avoir confondu, une fois de plus.
Comprendre et accepter.
De t’avoir, par prudence, pris pour un Autre.
Comprendre et accepter.
Que les yeux grand ouverts, ce n’est pas y voir clair pour autant…
Qui perd, gagne...
Les maux disparus, d’avoir finalement si peu existés.
Le mot arrive. Et le sourire aussi.
Le mot est là .
Tout est ici :
Ami.
Et c’est déjà tellement….
Amis.
Voisins.
Merci.
25/10/07
Litt : Le Nord.
Les yeux grands ouverts.
Enfin. Ca y est.
Et toujours en pleine nuit, sans avoir remarqué…
Attendons le soleil, pour l’Eclipse.
Ca y est, je sais, je sens…
Et pourtant…
Deux jours et deux nuits, j’attends.
C’est ce soir.
C’est maintenant.
Fermées les persiennes. A nous deux. Attention…j’arrive.
Toute ton attention s’il te plait.
Ecoute.
Cartes offertes, à cœur ouvert.
C’est maintenant.
Chut.
Cartes sur table, ce soir.
Dans mes mains, l’as de coeur, le huit de coeur, et le six de lune.
Dans les tiennes, l’as de trèfle, le sept de pique, le quatre de cœur.
Cartes mémoires, en roman photo, les 6 mois écoulés.
Et si moi, je ne voulais pas voir …
Six mois, où je ne voulais pas croire.
Maintenant je sais, je sens.
Ecoute.
Chute. Avec moi.
4 * 4, touché.
Tu me ressembles si peu. Et pourtant… si voisins.
Voisin, touchant, proche. So far, so close.
A côté de moi, juste à ta fenêtre, je vois :
Disponibilité, détermination, fragilité, honnêteté, générosité.
Humanité.
Equilibre…
A/4, touchée.
Grâce ces quelques lignes en 67, découverte de l’autre.
Et des Autres.
Les Autres, les Vivants de mon quotidien.
Les Etoiles du Septentrion, à double entrée.
Belles rencontres aux saveurs de bulles et de barbecue.
Un soir d’été, sans Jacques.
Et puis…Juste parler. Partager. Sans manger.
Au fil des heures, des semaines, des mois.
Communiquer, discuter, échanger, construire.
Sur le fil, un si bel équilibriste.
A pied ou en deux roues. Mieux vaut tard…
Et puis..
Une bulle, sans champagne cette fois, juste au fil des rhums antillais.
Parenthèse enchantée aux odeurs de braderie.
On ouvre la porte, on la referme.
Et puis…
Juste parler. Encore, toujours, longtemps, de jour comme de nuit.
Et puis, le flash. Aveuglant. En pleine nuit blanche.
Arrivent les yeux grands ouverts ?….
Maintenant je sais, je sens. Chut.
Ecoute moi c’est ce soir. Chute.
Carte sur table, si sûre…
Tellement sûre de ses lois…
Sauf que c’est une Polo, et non pas une Austin.
Ca rime au creux de l’oreille…Ernestine.
Maintenant, tu sais.
Pars. Pars, et reviens moi. Avec ta réponse.
Tu les as toutes, ou presque, les cartes.
A toi de jouer. Quitte ou double.
Perds ou impaire.
Carte blanche, à ton tour.
Le plan de la Carte au trésor, c’est offert en prime dans une voix de garage.
« Lille aux trésors cachés, dans les bistrots mal éclairés de Wazemmes et d’ailleurs ».
Pensées à ces gars coulés, par des putains de vents contraires, loin des zoos.
Sombres héros, à la mer.
Ca y est. Le jeu change de main.
Tout est ici, tu n’as qu’un pas à faire.
Todo Està Aqui, offert sans doute un peu trop vite.
Moi aussi.
Cartes en mains, à deux mains. A bientôt.
Je n’attends rien. Ou presque.
Se protéger maintenant. Pour l’éventuelle chute. Risque pris.
Anticiper pour ne pas tomber. Toutes les précautions prises, bien trop, encore.
Au cas où.
Toujours si sûre….
L’attente latente….Sereine, calme et tranquille.
Presque.
Le trouble.
Le trouble qui fait reculer beaucoup trop vite.
Et prendre du recul, ça n’est pas reculer pour autant.
Le ventre se tord. La tête de Lune est troublée. Trop.
Re-sentir trop fort. Bien trop fort.
Re-tour aux Tours jumelles. Boite de Pandore ouverte.
Re-garde moi.
Enfin, je comprends…
Le passé au présent.
Trois jours et trois nuits.
Dont une blanche.
On referme tout. Les yeux, les persiennes, la boîte aux secrets.
Au revoir les chiens bleus. Sirotons la tisane au pain d’épices.
Stop, c’est trop haut, trop vite, trop fort.
Stop.
Break. Haute tension, attention.
Juste dans les délais.
M. Bertrand m’impose : Pose-toi, Re-pose toi, Dors.
Une semaine pour signer l’arrêt.
Et puis…
« Appuyez vous sur les principes, ils finiront bien par céder » parait-il.
Même les miens.
Essai, messe… Tonibe va parler.
J’arrive.
C’est maintenant. J’écoute.
Il va parler, carte sur table. A son tour.
1,8,6 et 1,7,4. La donne est inchangée.
La vocabulaire est le même, la langue n’est pas commune. Ad Vitam.
Ce qui se réfléchit, même dans un si beau miroir, ne se ressent pas à tous les coups d’oeil.
Pas toujours aussi fort.
Et sans partager ça, l’aire sera déséquilibrée.
Même avec toi l’Equilibriste.
Partager l’aire vitale est impossible. J’en manquerai et tu étoufferas.
L’asphyxie, bien trop vite te guette. Et le manque immense pour moi.
L’Air Liquide, l’air des cimes savoyardes, l’air de quelques notes…
Ca sera sans toi.
L’air de rien, déséquilibre.
Tu ne voleras jamais avec moi, là haut près de la Lune.
Ca ne s’apprend pas.
Je sais, je sens.
En Picasso ou en allemand, la barrière est là.
On ne se comprendra pas.
Tu ne montras pas aussi haut que mes étoiles, même si je te prends la main.
Même avec le temps. Ce qui me coule dans les veines ne t’atteint pas.
D’autres ont compris. Quant à toi, tu ne l’entends pas.
Ou si peu. Surface calme.
Un si grand parallèle qu’on ne pouvait que se manquer.
Parce que les courbes aux inclinaisons alternées, elles seules, peuvent se croiser.
Une fois, ou plusieurs.
Le chant des cimes, en Ecrin de satin ou de soie, ne s’atteint pas toujours.
Même au Plat Pays, au milieu des terrils et des litres de Ch’ti blonde.
Loin des Alpages de mes Soleils.
Statut corrompu.
Touchée ? Coulée ? Si peu finalement.
Ces mots auraient du déchirer. Et pourtant rien. Ou presque.
Stupéfaction. Le ventre reste calme, là où il aurait du se tordre.
Là où, en toute logique le volcan intérieur aurait du exploser.
Calme presque plat. Alors que l’attention est haute.
Cherchez l’erreur. Les Sept.
Celle de la Grande Ourse, ou de la plus Petite.
Septentrion.
Le jeu des 7 erreurs.
Fin de la partie, on va envisager un autre Cycle.
Comprendre et accepter.
D’avoir confondu, une fois de plus.
Comprendre et accepter.
De t’avoir, par prudence, pris pour un Autre.
Comprendre et accepter.
Que les yeux grand ouverts, ce n’est pas y voir clair pour autant…
Qui perd, gagne...
Les maux disparus, d’avoir finalement si peu existés.
Le mot arrive. Et le sourire aussi.
Le mot est là .
Tout est ici :
Ami.
Et c’est déjà tellement….
Amis.
Voisins.
Merci.
25/10/07
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