Privée sans public
- Acte troisième.
- (Entre le 04 et le 02)
- Les Oiseaux, de passage, regagnent leurs nids.
- Retour en Golf, pas un dimanche matin cette fois.
On rentre à la maison. La Notre, Septentrion.
Elle s’était pourtant promis Cendrillon... - En pantoufle parme, c’est bien aussi.
- Au fond du lit, j’apprends seule à faire mes nuits.
- J’apprends à dormir, et ne m’demande pas comment.
- Il est minuit pile.
- Tant pis pour les principes. J’en ai envie.
Face à Face. Juste un verre, vite fait je dis. Maso, l’âne. -
« Oh mon amour je crève…de ne pouvoir te toucher » - Chris s’est mis au sec, et moi avec.
- Ou presque. A l’abri dans ta tanière.
Les heures filent... Sans les voir défiler, - Eyes Wide Shut, comme si souvent.
- Un œil ouvert, l’autre fermé.
- Clin d’œil à l’Orange mécanique? Eyes Wide Open.
- Stanley aurait bien été assez Hardi pour ça…
- 100% pressées ,faut pas déconner… Fraîches c’est encore mieux, j’adore ça.
- Beethoven pour les 2 cas, Kubrick et Kundera. Es muss sein.
- Tu ne m’aides pas. Il est toujours 19 ou 20° chez toi….
- Le temps est un concept qui m’échappe,
- A Vernon dans l’Eure, comme Papa.
- En années, en âge, en moi.
- Ou en temps de travail.
- Merci ma Maire pour les 35 heures,
- Je peux en faire plus mieux payées, il parait.
- Et si elles étaient mieux réparties ?
- Ah, non, ça y est c’est reparti. Stop.
- Plus de montre à mon poignet depuis des années,
- En noir et blanc, la tienne aussi s’est cassée.
- Dans la manche, Houdini.
- Magicien, Equilibriste…
- Toi aussi t’aurais ta place au Cirque Educatif…
- Ma famille mon sang,
- Taty Paillettes et Mr Loyal, Professionnels en Communication.
- Bistouille et Maryline. Les générations suivantes s’y préparent.
- Le temps passe, en mangeant cette fois. Excellente cette pizza.
Les mots filent. Mais pas moi. - Tu ne m’aides pas beaucoup, avoue.
- Arrête de remettre la musique à chaque fois…
Hémorragie. Cycle de Lune. Le cœur en sang. Entre autres.
- Tu m’ouvres le tien, dans tes yeux, j’hallucine.
- Merci pour les cartes manquantes. Effectivement la donne était fausse.
- Tours jumelles. Si peu. Tellement… Un peu, beaucoup, passionnément.
Méfiant, distant, prudent. Passiant. Excessivement. - Je détourne. C’est trop. De rimes en « en »
- Soyons désinvoltes….Changeons de sujet Je dé-teste le chocolat !
C’est mauvais pour moi. Pour mes hanches, pour la balance.
Et je suis Verseau. Sans les larmes qui alarment, pas cette fois.
Je déteste, parce que j’aime. - Et que je n’ai pas. Ce qu’elle a.
Soyons léger j’ai dit. Là tu deviens lourd je te re-dis. - T’as le droit, bien sûr, mais pas là, pas comme ça.
- Tu continues, ça t’amuses?
- Le voilà ! Le S.
- Qui manquait au M. Yin Yang, SM.
- Je dis stop. Arrête. S’il te plait.
- Les Zitounes, c’est pas pour moi, même en A.
- Tu veux que je te parle de Julien Doré tant qu’on y est ?.. So sexy…
- T’as vu ce que ce mec dégage?..
- Francis Huster doit lui envier son jeu de sourcils..
- Sa voix, sa classe…Pardon pour Stanley et Nabokov,
- Mais c’est M’sieur Goldy et son Lo-Li-ta,
- Qui me mettent dans un drôle d’état.
- Et je ne suis pas la seule..
- J’entends les notes résonner Tour Maline…
- Ma sœur, mon Cœur. Mes Soleils. Merci d’avoir insisté Alex.
- La TéléCrochetRéalité contenait bien sûr quelques perles...
- Trop d’intolérance tue la tolérance.
- Je sais. J’admets. J’y travaille.
- J’en ai sûrement loupé à cause de ça.
- Etre le miroir de ce que je dénonçais.
- 27 ans, l’âge de raison.
- Mais je garde mes convictions.
- Pour moi, il n'y aura pas au dessus de Cantat. Ca m’est acquis.
- Todo Esta, comme d’habitude.
- Y’a que ses mots, leur musique qui me transpercent autant.
- Depuis 12 ans.
- Cette fois je n’en parle pas.
- Attention à toi, de l’A à la N il n’y a qu’un pas.
- Que je ne franchirai pas.
C’est non, hors de question. - Mais on écoute qd même la miss à la voix de crécelle.
- A ma demande. Pour te comprendre.
Tu comprends ? Tu entends ? Ces mots que je ne dis pas.
Lis entre mes lignes. - Pas de rhum, pas de coca, c’est du jus d’orange cette fois.
Moi aussi ça me coule dans les veines… et ça rime en A.
T’as entendu ? Je suis jalouse. - Je l’ai dit. Bien entendu.
Je l’admets, d’elle aussi. PP lui a écrit.
A elle deux textes, à moi quelques mails - Il y a quelques années.
- Il m’avait fait monter sur scène d’ailleurs. Splendid.
Je devrais avoir honte. Même pas. J’assume.
Je n’aime pas sa voix, vraiment. J’ai essayé. - J’aime que son univers, et les textes qu’on lui a écrits.
Tu veux un autographe ? Moi je signe quand tu veux. - Et j'en ai un qui vallait cher il parait,
- Mais ça ne se vend plus sur ebay, fnd.
- Mais t’as déjà eu tellement plus…Tellement trop.
J’ai l’âge, j’apprends les cordes. J’ai eu des relations.
Il lui a écrit. - Mais moi ce sont Mes mots à moi que tu lis.
Mes maux que tu sens. - Que je t’explique. D’autres maux.
Et le tien. Tu l’entends ça ? Le Mal. Que j’ai.
»Tu m’donnes le mal », sans le mâle. J’en crève. - Je guéris seule de toi avec toi.
Le chocolat sur prescription médicale, non merci.
Ca coule déjà dans mes veines. Le sang chaud.
Au 2nd ou au 4ème. Moi c’est 04.02. en 1980.
Le 19 du douze en 75 c’est la saint Turbain.
En ville, sans couverture, le Soleil donne.
La Lune reçoit, elle devrait s’éclipser. - Passer du Coq à l’Ane.
- Très léger et très intéressant duo de fils de…Franglish.
-
Le chauffage est électrique. Et l’ambiance aussi mais détendue. - Incroyable contradiction. Réelle pourtant.
Amis calmes. Amical. Surface calme. - Je me sens si bien ici, si mal aussi.
La barre est cassée, je chute. Tenez la bien, ami, je râle.
J’ai chuté. Je suis tombée, amoureuse, de toi. - Répare la barre.
Fixe-la, nom de dieu. L’Amiral de retour après 31 ans d’exil.
Soirée en noir et blanc demain. Complémentaires. Ying Yang.
Attention aux nuances de gris. - Un livre offert. A livre ouvert, viens lire.
- En moi.
Deux visions une même chose. A l'envers, à l'endroit.
Pas la même vision. Pas pour tout.
J’ai lu au dos, tu n’y as vu que le Titre. - Pour le même, je me livre.
Tu es en première page, au second degré, - je suis en quatrième de couverture, quai des Augustins un 23 juillet..
Complémentaires. Equilibristes.
- Pour un livre en cadeau, un remake d’Agatha.
Devant moi, un magnifique bijou.
Mon Trésor. Public. A toutes, à l’heure. - A elle. En 67. No comment.
Juste là avec moi, en privé. - 900 euros, la note est chère.
- C’est à cause de la fusion. Des revenus..
Et du volcan. - Viens. Re-viens.
- Passe par moi avec de la crème solaire.
- Partout. J’ai trop chaud chez toi.
Tu es passé par là, tu es passé par moi. - Et je suis toujours là. Et toi aussi.
J’ai attrapé un putain de coup de soleil. - Le Soleil donne encore trop, bien trop.
Innocent ?
Coupable malgré lui.
Et devant lui, ça fait mal, ça brûle, - Ça crame. J’en perds ma peau. Je change.
La voix mue, je suis émue. -
Ce quelques lignes il y a 7 mois. Ma démarche m’a donné des ailes. - C'est au printemps qu'elles arrivent, les hirondelles.
Toi tu m’as parlé des elles. Et moi d’eux. A nous deux.
Laisse moi bronzer calme et tranquille. A l’ombre du Soleil.
Emotion, passion, sentiment.
Les trois marchent. Les trois marches à gravir. - Pour atteindre le chant des cimes.
- Je brûle encore passionnément.
Je change de peau, je suis en pleine mu-tation. - 27 ans. L’âge de Raison.
Réveille toi s’il te plait, moi je rêve éveillée.
Parfois.
Encore jouer ? Là c’est à qui ?
Pour moi c’est Acquis.
Tout est à qui? Tout est ici, entre ces quatre murs.
Tostaky…Encore et toujours en boucle.
Todo Esta Aqui, ma sœur au Soleil espagnol. - La tienne, fille de Lune.
- Et moi à la plume.
On y revient toujours.
Je t’aime. Bordel.
Tu ne vois pas que tu y es ? Au bord d’elle. - Au bord de moi.
Oranges 100% pressés. Attention en deux roues.
Trop pressé, et peut être finalement pas assez.
Parfois, il faut secouer, avant pas après. - Secoue moi ou secoue toi.
- Sinon, ça reste en bas, planqué, concentré.
- Et à la fin, c’est trop. Trop tard.
Le mâle est fatigué, je le vois, je le sens.
Mais remet encore la musique. - Ma vie est une musique.
Je m’en vais.
Il ne dit mot, consent. Au revoir. A bientôt.
A dimanche peut être pour l’apéro.
Je ne viens pas te le dire, mais je m’en vais.
Retour au 186 pour une nuit pleine de toi sans toi.
Le rêve éveillé, le rêve endormi.
N’oublie pas, c’est un jeu. - Du jeu de mots, au jeu de maux.
- Et j'ai déjà donné bien trop.
Sans double Je.
Simple Je. Juste moi.
Simple moi. Simple toi.
Pas si simples… si compliqués.
Juste toi. Réveille-toi. Il est tard déjà.
S’il te plait. Il me plait.
Tu m’as plu, tu me plais.
Et la pluie n’a rien effacé.
Laisse moi. Je suis à l’essai, à transformer.
En contrat indéterminé dans les Airs.
Laisse moi. Ou viens.
Juste moi, juste toi.
Ou je dégage.. -
Ce que je dégage tu m’as dit ? Mais quoi ?. Dis le moi.
Montre moi, re-garde moi.
Je suis à côté. De la plaque, et de toi.
Je le sais. Tu le sais. La porte est encore ouverte.
Souviens toi, au printemps dernier. Souviens toi, le 16 du 11.
Ou le Pape pour la mnémotechnie. Ca te sera facile. - Prohom j’ai suivi, Pro-homme je suis.
Prohom je verrai.
Et tu es invité.
Mon invité.
A toi de jouer. - A toi de voir, à toi de croire.
- C'est ma dernière carte.
-
- 09/11/07
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